Article quatre :

GENÈSE DU SAVOIR CONCERNANT LES PYRAMIDES PAR LE SAVANT ARCHIMÈDE

UN RÊVE VISIONNAIRE POUR VOUS TOUS

Les anges auraient-ils tracés au jour du solstice, en ce lieu enchanteur, ces deux cercles dans le ciel, afin d’y sacraliser le Soleil au cœur du temple de la nature et plus encore ? 

C’est exactement ce que nous nous hasardons de faire, Francesca, Yona et Mario, en vous présentant la démonstration, un peu maladroitement certes, mais en toute sincérité, que ce rêve visionnaire et lumineux nécessite d’être réalisé maintenant.

Nous sommes dans un état d’urgence sanitaire, climatique, énergétique, et la crise spirituelle aigüe aggrave encore la réalité, devenue folle, des temps actuels.

Ne nous dissipons pas.

Revenons à l’essentiel.

Remettre en doute les certitudes anciennes est un signe d’intelligence qui nous permettra d’innover en outrepassant la zone de confort intellectuel sécurisante.

La Vesica Piscis n’est apparue dans le ciel azur que pour nous rappeler, à nous autres humains, l’incroyable vérité oubliée, perdue depuis des siècles.

Malheureusement, au cours du temps, les savoirs sacrés et secrets se sont évanouis dans le brouillard du progrès matériel.

AVEZ-VOUS ENVIE D’UNE PYRAMIDE DE LUMIÈRE ?

IMPLANTATION D’UNE PYRAMIDE

Une chose est certaine : la mise en œuvre d’un dispositif élémentaire en vue de tracer la Vesica Piscis est très simple.

Les Architectes Sumériens, Babyloniens et Égyptiens employaient cette méthode archaïque pour l’implantation de leurs édifices, temples, palais et leurs célèbres pyramides pour ces derniers.

Cette méthode empirique exécutée sur le terrain à l’ouverture du chantier nécessite d’avoir qu’un bout de ficelle et deux bouts de bois ; rien de compliqué en fin de compte pour trouver le matériel, même trois mille ans dans le passé.

MATÉRIEL NÉCESSAIRE :

• Un piquet en bois d’un mètre environ, pointu à une extrémité.
• Un cordage solide en coton, chanvre ou fibre de noix de coco.
• Plus ce cordage sera long, plus la précision sera grande.
• Un bâton en bois pour tracer un cercle dans le sable.

MODUS OPERANDI POUR CONSTRUIRE LA VESICA PISCIS 

PHASE N°1.

Tracez une ligne droite sur le sable (dans le désert) ou sur la terre végétale, éventuellement orientée selon un axe Nord – Sud.

Choisissez un point n’importe où sur cette ligne et plantez-y profondément un piquet en bois dans le sol.

Il matérialisera le centre A du cercle.

Puis à l’aide d’un cordon auquel vous auriez fait au préalable une boucle à l’une des extrémités, introduisez cette boucle dans le piquet en vous assurant qu’elle soit lâche.

Sans la nécessité d’une mesure de longueur pour votre cordon, fixez-y un bâton à l’autre extrémité en vous assurant d’avoir tout de même un rayon (r1) de 2 à 10 mètres environ.

Ce dispositif très simple à mettre en œuvre vous permet de tracer un premier cercle dans le sable ou sur la terre ferme.

Une craie blanche pourrait être utilisée pour les surfaces rocheuses, ou alors, en brûlant l’extrémité d’un bout de bois, le charbon y laisserait une traînée noire sur la courbure du cercle.

PHASE N°2.

Le cercle ainsi tracé sectionne la ligne droite Nord – Sud au point B.

Retirez le piquet en bois du point A et enfoncez-le au point B, à l’intersection du premier cercle sur la ligne N-S.

Avec le même dispositif, introduisez la boucle du cordeau autour du piquet nouvellement planté. Il ne vous reste plus qu’à tracer le deuxième cercle sur le sable (r2).

Les rayons r1 et r2 doivent être identiques.

Alors vous avez à vos pieds la figure de la Vesica Piscis tracée sur le sable.

PHASE N°3.

Avec la Vesica Piscis ainsi dessinée sur le sol, il ne vous reste plus qu’à tracer une ligne droite qui relie les deux points d’intersection des deux cercles (entre C1 et C2).

Vous avez alors un angle droit (90°) par rapport à la ligne de départ.

Cette ligne perpendiculaire à l’axe Nord – Sud est orientée selon l’axe Est – Ouest.

L’implantation de la pierre d’angle de votre nouvel édifice est établie avec précision.

Il ne vous reste qu’à construire la cabane, le temple, le palais ou la pyramide de vos rêves,

orienté selon les forces géomagnétiques du globe.

Notez que cette procédure de traçage reste identique pour un dessin technique sur papier, mais un compas remplacera idéalement les deux bouts de bois et le cordon.

Le compas est l’instrument de la mesure, le symbole abstrait de l’œil de Dieu.

Sachez et retenez que les deux branches du compas représentent les rayons de lumière et la grâce céleste adressée aux peuples de la Terre.

Le compas est par conséquent :

« L’outil indispensable au Grand Architecte de l’Univers afin de créer le monde »

Revue ULTREÏA N°15, PRINTEMPS 2018. Page 23.

Ce peut-il que les bâtisseurs des Pharaons aient implantés la base de leurs pyramides selon le procédé de la Vesica Piscis ?

Nous n’en doutons pas.

À l’inverse, la Vesica Piscis observée au zénith de nos têtes ne nous conforte nullement à l’idée fantaisiste d’un quelconque édifice implanté ou suspendu dans l’air.

Mais l’idée peut-être d’ériger une cathédrale virtuelle consacrée au Divin est dans l’air.

« EURÊKA ! J’AI TROUVÉ »

Encore et toujours surprenante, la Vesica Piscis nous réserve une source prospère de connaissance dans de nombreux domaines.

Mais il y a un domaine dans lequel elle excelle, c’est celui des mathématiques.

Le savant grec Archimède vécu à Syracuse, en Sicile, entre -287 et -212 avant J.-C.

C’est un des plus grands mathématiciens de tous les temps.

En mathématique, il est l’auteur d’une œuvre considérable, notamment en élaborant une méthode permettant d’exprimer les très grands nombres.

Il a démontré, entre autres, le théorème sur le rapport de 2/3 entre le volume de la sphère et celui du cylindre dans lequel elle est inscrite, pour autant que la sphère inscrite soit tangente au cylindre par la face latérale et les deux bases.

Ce théorème est également valable pour le rapport de 2/3 entre l’aire (la surface) d’une sphère et d’un cylindre, en tenant compte de la surface des deux disques du cylindre.

Ce qui nous intéresse ici, c’est cette surprenante fonction des deux démonstrations – le rapport entre l’aire et le volume – soit valable pour aussi bien pour la surface que pour le volume.

C’est unique cette similitude du rapport 2/3 entre aire et volume pour une sphère et un cylindre.

Et le cylindre est également une forme bien étrange.

Selon l’angle avec lequel on le regarde, il ressemble à un disque ou à un carré. Ce qui nous semble important ici, c’est cette double perception visuelle d’un objet (le cylindre) qui n’est ni un carré, ni un disque, mais un cylindre.

Illusion de la perception d’une réalité doublement vraie sans pourtant être la vérité. Seule la vue en perspective fait voir la vérité profonde et entière de la forme : le cylindre.

Nous vous invitons à découvrir par vous-même la foisonnante contribution qu’Archimède apporta aux mathématiques et à la physique.

La figure 4 de la Vesica Piscis, assurément connue du savant grec pour lui attribuer la paternité de la démonstration mathématique du rapport entre la hauteur de la ligne verte et la racine carrée de 3 ( √3 ), ont toutes deux une valeur égale.

Cette valeur de la racine carrée de 3 ( √3 ) est :

1,732050808

Ce nombre est irrationnel, illimité et apériodique.

LE TRAITÉ DES MESURES DU CERCLE

Archimède, dans son traité sur les mesures du cercle, démontra que cette valeur de

√3

est comprise entre deux déterminants rationnels et qu’il n’existe pas d’autres fractions obtenues avec des nombres plus petits qui fournissent une meilleure approximation de la valeur de √3.

1351/780 < √3 < 265/153

Le savant grec nous stupéfie avec cette brillante démonstration mathématique en s’appropriant magistralement le symbole de la Vesica Piscis, mettant en lumière les règles inscrites dans deux cercles entrecroisés identiques.

Plus connu pour être l’auteur du désormais célèbre « EURÊKA ! », « J’ai trouvé ! » en courant tout nu dans la rue, émergeant subitement de son bain dans lequel il eut une fulgurance.

Archimède venait de découvrir et comprendre la notion de poids spécifique en faisant déborder l’eau de sa baignoire.

Laissant ainsi à la postérité son légendaire et mémorable principe qui porte son nom :

« Tout corps plongé dans un liquide subit une poussée verticale, dirigée de bas en haut, égale au poids du fluide déplacé et appliquée au centre de gravité de ce fluide déplacé »

Archimède signe ici son œuvre fondamentale sur le principe de l’hydrostatique, toujours actuel.

Et son œuvre ne se limite pas seulement à de l’eau qui déborde !

LE MÉCANISME D’ANTICYTHÈRE

Découvert en 1901 dans une épave romaine du 1^er siècle avant Jésus Christ, au large de l’île grecque éponyme, en Mer Égée, des pêcheurs d’éponges trouvèrent au fond de l’eau diverses monnaies, des amphores et des statues en marbre et en bronze.

L’une d’elles parfaitement conservée et que l’on peut admirer au Musée national archéologique d’Athènes mesure presque deux mètres.

Il s’agit de l’éphèbe d’Anticythère qui tiendrait dans sa main droite une sphère : une pomme ou il se peut qu’il s’agisse de la tête de la gorgone Méduse, selon l’attribution du nom du personnage statufié.

Parmi les vestiges découverts à 60 mètres de profondeur, il y avait des fragments d’un mécanisme absolument extraordinaire :

Le mécanisme d’Anticythère

Il s’agit d’un calculateur astronomique, comme les inscriptions gravées en grec, le laissent clairement entendre. Il permettait de reproduire les mouvements du soleil et de la lune, de prévoir les éclipses et de calculer le cycle lunaire (cycle de Méton).

La lune, dans son voyage astronomique autour de la Terre met 19 ans (235 lunaisons) pour se retrouver dans la même configuration Terre – Lune – Soleil.

Cette machine est la plus vieille horloge à roues dentées du monde, avec ses engrenages. Il faudra attendre plus de mille ans, pour qu’un mécanisme comparable soit inventé. Selon certains archéologues, cette machine d’Anticythère serait attribuée à Archimède ou à un de ses disciples.

Comment est-ce possible que plus de mille ans se soit écoulés après que cette machine conçue dans l’Antiquité, pour qu’enfin l’humanité construise une machine moins complexe que le calculateur astronomique d’antan ?

Une perte mémorable du savoir de la civilisation Grecque s’évanouissant dans les limbes de l’ignorance, et qu’une maîtrise du génie de la mécanique céleste disparaisse durant plus d’un millénaire est étrange, même incompréhensible pour l’esprit d’un savant contemporain.

Preuve que des savoirs antiques s’évaporent de la mémoire des hommes.

Et nous désirons réactualiser une connaissance très ancienne qui, elle aussi, est tombée dans les oubliettes du savoir.

Selon les paroles du philosophe savant Archimède du siècle avant Jésus-Christ :

« Donnez-moi un point d’appui et je soulèverai le monde »

Archimède

153 GROS POISSONS : LE CODE SECRET

Deux cent douze ans après la mort d’Archimède, naissait Le Messie à Bethlehem.

Est-il possible que cette Vesica Piscis, développée par Archimède ait été détournée pour représenter secrètement le Christ par les premiers Chrétiens persécutés par l’Empire Romain ?

Deux éléments majeurs nous suggèrent l’idée d’un détournement du symbole du poisson visible au cœur de la Vesica Piscis.

Un premier élément nous apprend qu’en grec, le mot « poisson » s’écrit : ichtus, (ΙΧΘΥΣ).

Un deuxième indice révélateur est qu’en latin, le mot « piscis » signifie également « poisson« .

Afin de ne pas servir de repas aux lions du Colisée de Rome, ce sigle « ΙΧΘΥΣ » était un acronyme que seuls les chrétiens du premier siècle pouvaient reconnaître en signe d’appartenance à la nouvelle religion, sans la crainte d’être jeté en pâture dans l’arène.

Il était dangereux à l’époque de se déclarer chrétiens.

« ΙΗΣΟΥΣ ΧΡΙΣΤΟΣ ΘΕΟΥ ΥΙΟΣ ΣΩΤΗΡ »

« Iêsús Khristos Theou Huios Sôtêr »

« JÉSUS CHRIST, FILS DE DIEU, SAUVEUR »

Aux premiers siècles après la Résurrection du Christ, les fidèles persécutés avaient mis en place une stratégie astucieuse afin de ne pas finir dans l’arène ou pire : dans le ventre d’un lion.

Tacitement, lorsque deux croyants en Christ (A1 et B2) se croisaient sur un chemin et désireux de connaître leur appartenance ou non à la nouvelle église chrétienne, ils s’interrogeaient silencieusement.

Le premier (Être A1) dessinait sur le sable, sur un mur, ou bien gestuellement dans l’espace, un arc de cercle. (Voir : Figure 8)

Si vous ne connaissiez pas la Vesica Piscis, la personne (Être B2) poursuivait son chemin sans saisir le sens caché.

Par conséquent le deuxième (Être B2) représentait un danger pour vous-même.

Autrement vous entriez en communion dans la paix du Christ avec lui. Spirituellement joyeux.

À l’inverse, si vous saviez reconnaître dans cet arc de cercle, un demi poisson comme un signe de ralliement et d’appartenance à la nouvelle religion, la personne (Être B2) complétait alors d’un deuxième arc la figure symbolique du Sauveur.

Et si vous étiez un tant soit peu prévenant, la bouche du poisson aurait indiqué la direction du lieu de rassemblement, tel un panneau fléché de nos autoroutes actuelles.

Obsessionnellement, constamment, le double cercle de la Vesica Piscis s’immisce partout.

Deux civilisations, la Grecque et la Romaine, s’approprièrent en secret le signe de ralliement : le poisson.

Et si, d’un arc de cercle quelconque dessiné sur le sable ne signifiait rien pour vous, vous étiez sous l’emprise de l’Empire.

Mais en dessinant un deuxième arc de cercle sur le sable, formant un poisson stylisé, alors vous signez votre appartenance à la croyance des paroles d’un certain Jésus de Nazareth.

Deux arcs de cercles, prémices d’un élan doublement circulaire.

Retenez bien cette phrase.

Elle résume tout.

PLUS DE 2000 ANS APRÈS, SUR NOS ROUTES

Aujourd’hui encore, ce poisson est parfois visible dans les embouteillages et les parkings.

Sur la tôle arrière de certains véhicules à l’arrêt, arbore un sticker arc-en-ciel du poisson sauveur, plus de deux mille ans après le premier arc de cercle interrogateur, avec, comme slogan :

« Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie ».

Jean 14, § 6

Aujourd’hui, vous ne suivriez pas obligatoirement le conducteur qui a cet autocollant placardé sur la tôle arrière de son véhicule. Sa destination n’est peut-être pas la votre.

Donc ne le suivez pas aveuglément !

Sauf, bien sûr, si c’est Jésus lui-même qui conduit…

À LA PLAGE AU BORD D’UN LAC CONNU

Christ mort, il ressuscita d’entre les morts. Par trois fois il apparut aux disciples.

Au bord du lac de Tibériade, après une nuit entière à pêcher, Simon Pierre et cinq ou six autres disciples revinrent sans aucun poisson.

Christ incognito méditant au bord du lac demanda aux disciples de retour de la pêche :

« Mes enfants, n’auriez-vous rien à manger ? ».

Ils répondirent : « Non ! ».

Jésus méconnaissable, comme rajeuni, dit :

« Jetez le filet à droite du bateau et vous trouverez ».

Ainsi fut fait.

Ce jour-là, le filet contenait alors 153 gros poissons.

Un feu de braise sur la plage sur lequel grillait des poissons, accompagné de pain frais, le Christ les avait disposé pour les pêcheurs en guise de bienvenue, en attendant leur retour.

Et s’adressant à ses disciples qui ne le reconnaissait pas encore, dit :

« Apportez de ces poissons que vous venez de prendre »

« Venez déjeuner ».

En rompant le pain et le poisson puis en le partageant avec les disciples, plus aucun doute n’était permis quant à la personne qu’ils avaient devant leurs yeux :

Le Christ lui-même, vivant, dans son corps de Gloire.

Revenez en arrière, à la figure 4.

Voyez-vous la ligne verte verticale au milieu de la Mandorle ?

Le Christ pourrait prendre la place de la ligne verte pour s’inscrire au centre de la Mandorle, debout et en gloire.

La longueur de cette ligne verte à comme valeur :

1,732050808

Serait-ce la mesure de la hauteur du Messie, 1,73 mètre de haut ?

C’est juste une boutade, n’y voyez pas une certitude. C’est juste pour rire.

Nous n’en savons rien de la grandeur du personnage illustre, mais il est le Fils de Dieu.

Et rien que ça, c’est grand.

La suite et fin dans la Bible, apôtre Jean, chapitre 21 : Épilogue.

Maintenant, si l’un ou l’une d’entre vous désire apporter son témoignage,

après avoir pris connaissance du contenu du site

Lightupsphere.ch

Nous vous prions de bien vouloir nous communiquer votre éclairage.

Nous le publierions aussitôt et, soyez-en sûr,

nous serons très heureux et honorés

de partager votre expérience.

TEAM LEM.

Have a nice day.

Articles prochainement publiés :

• LA VESICA PISCIS.
• LA « MANDORLA ».
• LA TRINITÉ CÉLESTE.
• ILLUSIONS OPTIQUES.