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EMPAREZ-VOUS DE LA MIRACULEUSE VESICA PISCIS

porte des étoiles, mandorle de feu, AI

L’ORIGINE DU SYMBOLE MYTHIQUE

Article 3 : La Vesica Piscis océanique et universelle

Curieux de comprendre ce qu’il nous était arrivé, nous avions cherché d’autres témoignages : dans les livres des bibliothèques municipales, en librairie, et sur internet, bien sûr.

Il n’y avait rien qui pouvait nous faire appréhender raisonnablement le pourquoi ni le comment de la survenue de cette apparition pour le moins stupéfiante.

Rien !

Aucun témoignage, aucune description rationnelle ou scientifique.

Nul être vivant n’avait vu ce photométéore au zénith, vraisemblablement.

Nous étions pris au dépourvu par cette absence d’explication.

Aucune photo d’halo tel que celui observé par nous trois, ni de description par un individu observant de visu le même phénomène du photométéore.

Et c’est justement pour cette raison que nous nous sommes accaparé cette énigme afin d’inventer intellectuellement une analyse logique, acceptable et censée.

C’était alors qu’en épluchant l’internet, nous avions déniché une forme géométrique qui nous avait, en son temps, enthousiasmé.

ENFIN UN TÉMOINGNAGE BIBLIQUE

Investi d’une mission nouvelle, nous avions trouvé dans la Bible le seul témoignage qui correspondait un peu à notre observation sur la montagne LEMA.

Dans le Livre d’Ézéchiel, au chapitre 10, verset 9 :

« Je regardai, et voici, il y avait quatre roues près des chérubins,

une roue près de chaque chérubin ;

et ces roues avaient l’aspect d’une pierre de chrysolithe ».

Puis au chapitre 10, verset 10, ce que nous avions lu nous parlait de ce que nous avions été, nous aussi, les témoins :

« À leur aspect, toutes les quatre roues avaient la même forme ;

CHAQUE ROUE PARAISSAIT ÊTRE AU MILIEU D’UNE AUTRE ROUE ».

Les roues symbolisent l’esprit de Dieu vivant qui va et vient où bon Lui semble.

Ces roues portent un nom, selon Ézéchiel.

Il les nomme, suivant ce qu’il entendit durant ses visions : « Galgal », qui signifie en hébreu : Roue, faire tourner, tourbillon, tournoiement, mais aussi : « Cercle de pierre sacrées », nom donné à une montagne de Palestine aujourd’hui inconnue.

Source : https://emcitv.com/bible/strong-biblique-hebreu-galgal-1534.html

En admettant qu’en prenant comme base de travail la Vesica Piscis, elle peut se présenter de deux manières différentes : soit vue horizontalement, soit vue verticalement.

Les roues que mentionne Ézéchiel dans ses visions peuvent être des cercles. Il n’y a pas de doute possible : même forme, l’une au milieu de l’autre.

La Vesica Piscis, avec ses deux cercles identiques, avec le centre de l’un passant par la circonférence de l’autre, la forme correspondait à la description du prophète.

Réunissant les quatre roues identiques (les cercles), avec les deux possibilités de représentation (horizontale et verticale), nous avions esquissé le mandala suivant :

Les roues d’Ézéchiel.

Nul doute que nous tenions enfin une description plausible, par le témoignage du prophète Ézéchiel, enfin quelqu’un avait vu cette forme apparaître dans le ciel.

Mais il y a presque 2500 ans qui nous sépare l’un de l’autre.

Voilà des siècles et des siècles que personne n’ait pu observer des roues dans les roues, sauf au Tour de France.

C’était alors qu’en épluchant l’internet, nous avions déniché une forme géométrique qui nous avait, en son temps, enthousiasmé.

LA VESICA PISCIS VUE DANS LE CIEL

Il existe, en géométrie, une forme qui ressemblait à notre observation atmosphérique.

Pour rappel, observez ce photométéore.

Le soleil simultanément au centre et en périphérie

Cette forme, selon les Pythagoriciens de la Grèce antique, au 6ème siècle avant J-C,

puis Euclide, au 3ème siècle avant J-C, la nommèrent :

LA VESICA PISCIS

Son origine remonte à la nuit des temps.

Les Mésopotamiens, les peuples d’Afrique et d’Asie connaissaient cette figure.

La similitude avec la forme observée dans le ciel du Tessin était frappante à ceci près qu’elle ne prenait pas en compte la présence du soleil.

Enfin nous tenions une piste intéressante.

La Vesica Piscis est un mot latin qui signifie « vessie de poisson ».

Quel nom bizarre !

Deux possibilités s’offrent à vous

Cette forme de la Vesica Piscis est obtenue par l’intersection de deux cercles de même diamètre, dont le centre de l’un passe sur la circonférence de l’autre.

De cette construction géométrique, deux possibilités s’offrent à vous :

Vesica piscis verticale avec logo LEM
  • La Vesica Piscis orientée verticalement.

Un premier cercle supérieur dont le centre se situe sur le haut point tangentiel de la circonférence du cercle inférieur.

Symboliquement, le cercle supérieur signifiait pour les Anciennes Civilisations le royaume des Cieux, le siège de l’esprit.

Concernant le cercle inférieur, il symbolise le royaume de la Terre, qui est également la terre, réceptacle de notre corps inscrit dans ce deuxième cercle.

La Vesica Piscis est le centre en forme d’amande qui encercle les deux cercles qui se superposent verticalement.

L’amande qui résulte de cette superposition, orientée horizontalement, a la forme d’un œil ouvert.

Les Pythagoriciens grecs nommèrent cet œil, « l’Œil du Vortex ».

Ici, dans ce vortex s’entrechoque les Cieux et la Terre, créant d’un même élan ce tourbillon de vie tiraillé entre l’esprit et le corps, selon les dualistes.

Quant aux Sages, pour ceux-ci, ce vortex est le lieu où tout se mélange en parfait équilibre, harmonieusement, comme une plage de sable qui réunit cette rencontre de la mer et de la terre, le Soleil se miroitant sur les océans de la Terre, témoignant ainsi de la perfection du monde.

Cet œil en forme d’amande était connu également des Égyptiens d’alors, qui y distinguaient dans cet œil, « l’Œil de Râ », le dieu créateur de l’univers, dieu du Soleil, de la vie, de la lumière et de la chaleur, père et roi de tous les dieux.

Il était à l’origine de tout ce qui est connu.

Sa puissance était telle qu’il était à l’origine de tout ce qui nous est encore inconnu aujourd’hui.

Source de connaissance :

https://ancienne-egypte.com/blogs/symboles-de-l-egypte/l-oeil-de-ra

La Légende du Saint Graal

Cette forme d’amande horizontale est aussi considérée, par sa forme singulière, à un calice.

Ensuite, après la publication de « Perceval ou le Conte du Graal », écrit par Chrétien de Troyes, au XIIème siècle, ce calice en forme d’amande prend une toute nouvelle signification.

Cette coupe en or pur sertie de pierres précieuses portée par …

« une belle jeune fille richement parée.

Elle porte un Graal d’or pur orné de pierres précieuses » …

« Il vint alors une si grande clarté que les chandelles perdirent la leur,

comme les étoiles quand le soleil ou la lune se lève ».

La légende était née avec le Saint Graal.

Tout le monde cherche son Graal. Du vase des chevaliers de la Table Ronde aux particules intriquées des physiciens de la mécanique quantique d’aujourd’hui, ce calice extraordinaire garde tout son mystère et sa fascination.

Vesica piscis horizontale avec logo LEM
  • La Vesica Piscis placée horizontalement.

Un premier cercle dont le centre se situe sur la circonférence d’un deuxième cercle accolé.

Symboliquement, les cercles côte à côte créent une amande verticale nommée en italien

« Mandorla ».

Un article entier y est consacré : ici.

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La Vesica Piscis nous éclairera ultérieurement grâce à la symbolique singulière et quasi mystique dont elle irradie secrètement.

Ces deux cercles sont l’expression d’une prescription divine aussi importante qu’est le Décalogue, les deux tables de la Loi reçue par Moïse sur le mont Sinaï, conservées dans l’Arche d’Alliance, aujourd’hui disparue mais pas perdue.

La Vesica Piscis représenterait le premier jour de la Création, car le chevauchement de deux cercles de même rayon, selon les Antiques Géomètres de la Grèce (Pythagore, contemporain du Bouddha, vers 580-500 ans avant J.-C.), crée un archétype de la géométrie sacrée.

Cette Vesica Piscis peut être considérée
comme la matrice maternelle de l’Univers.

Les Antiques Géomètres.

Invasion universelle du symbole

Ce symbole riche par sa diversité spirituelle a conquis la planète entière et façonné des Empires tout au long des âges.

Curieusement, il continue de fasciner par son esthétisme harmonieux investi de puissance, et sa modernité en fait un symbole de choix pour bon nombre d’entreprises nouvelles.

La toute dernière entreprise qui s’en est inspiré, sans devoir toutes les citer,

(VISA, MASTER CARD, OSCARO, GUCCI, CHANEL, TOYOTA, etc.),

cette dernière nous plaît vraiment, car parfaitement inscrit dans le thème du site lightupsphere.ch, c’est celle-ci :

Il y a vingt-cinq ans en arrière, sur le moteur de recherche Google, il n’y avait que trois ou quatre occurrences en tapant : VESICA PISCIS.

Aujourd’hui, d’innombrables artistes se sont emparés du symbole dans leurs œuvres.

Une foison de Vesica Piscis dessinée en couleur, inonde aujourd’hui la toile, sur tous les continents. Peinture, sculpture, NTF, musique et art graphique.

Le pouvoir spirituel du symbole grandit, grandit, grandit encore.

UN POISSON EN DANGER D’EXTINCTION

Ce nouveau logo de la firme HOMAIR a un petit poisson au centre.

Comme les humains, selon les adeptes de Darwin, ce petit poisson océanique est sorti de l’eau pour conquérir la Terre entière, jusqu’aux confins des galaxies.

La Vesica Piscis est un mot latin qui signifie « vessie de poisson ».

Quel nom bizarre !

D’autant plus que les poissons n’ont pas de vessie pour uriner dans l’eau !

Les poissons ont une vessie « natatoire », un genre de sac membraneux relié à l’œsophage qui se remplit de gaz et qui leur permet le contrôle de la plongée ou, inversement, la flottaison sous la surface de l’eau.

Certains poissons ont une vessie natatoire en « or ».

Phocoena sinus.

Vaquita

Au Mexique, un poisson endémique de la mer de Cortez (le phocoena sinus, ou marsouin du golfe de Californie, nommé vaquitas, en raison de ses beaux yeux qui ressemblent à ceux des vaches, « vaca » en espagnol) est en voie imminente de disparition dû à la surpêche des vaquitas par la mafia locale.

Dans le golfe du Mexique, il n’en resterait qu’une dizaine de ce charmant petit marsouin vraiment trop mignon.

Il est urgent de sauver le vaquitas et le totoaba. Visitez et sauvons les ! 🐬

www.wildfor.life/vaquitas

http://www.vivavaquita.org

Image : vivavaquita.org

www.swisscetaceansociety.org

Dans la pharmacopée chinoise, les vessies natatoires des vaquitas et des totoabas sont négociées jusqu’à 70000 dollars le kilo !

Cette vessie est prélevée très soigneusement sur le poisson par les pêcheurs mexicains, puis transportée en contrebande par la mafia jusqu’en Chine, pays friand de remèdes extrait du règne animal, et par conséquent responsable de l’extinction des vaquitas.

La vessie procurerait un surcroît d’énergie consommée en soupe et soignerait certaines maladies, mais appauvrit, voire anéantit par cette surpêche exterminatrice, la biodiversité des fonds marins mexicains.

Cette vessie natatoire a-t-elle une forme qui ressemble minimalement aux deux cercles vus dans le ciel ?

Absolument pas !

D’où alors ce terme de la « Vesica Piscis » tire-t-il son nom ?

Nous aimerions bien connaître la traduction en grec, en arabe, en sanscrit, ou en chinois, partant de la forme grecque ou latine de la Vesica Piscis, afin d’en savoir davantage à propos de son usage et de son symbolisme dans le lointain passé, ceci dans les cultures antiques des peuples d’antan.

Nous n’avons pas la réponse, malgré nos recherches.

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LA DYADE QUE LES PHILOSOPHES GRECS ADMIRÈRENT JADIS

À partir de cette vessie de poisson – la bien nommée  » VESICA PISCIS  » – les philosophes grecs ont concocté une recette intellectuelle très riche en devenir. Développant une science qui comprenait la géométrie, les mathématiques et la philosophie, les Grecs ont engendré des concepts révolutionnaires.

Ce motif bi-dimensionnel représente la première dyade, tel le cercle qui se contemple lui-même; il est réfléchi et engendre la ligne (la deuxième dimension, la 2D) en reliant les deux centres A et B.

La dyade et la Ligne by L E M

Toute l’illusion du monde commence à l’instant même de la naissance de cette dyade.

Les philosophes grecs l’ont dénommé le « principe de la dualité ».

« Son principe est la polarité, c’est-à-dire la séparation des uns avec les autres, séparation avec la nature, séparation avec notre part divine ».

Distinction entre homme et femme, éloignement de l’unité, opposition du jour à la nuit, tiraillement entre le bien et le mal, séparation du haut d’avec le bas, dualité entre l’esprit et le corps, entre l’action et le repos, et la dualité s’enracine ainsi furtivement dans notre cerveau égotique. Identique à un perpétuel duel, comment découvrir des symbioses harmonieuses avec un tel résonnement ?

Nous devrions inventer le terme « duolité » pour saisir intellectuellement tout ce qui nous rassemble, focalisant notre intelligence sur l’harmonie des contraires qui s’entrechoquent en apparence, mais secrètement ces opposés dansent un slow endiablé et torride.

Pour qu’enfin voir cette réalité harmonieuse, il nous faut pourfendre le voile des apparences diaboliques, mensongères et perfides. Trop facile d’opposer ce qui semble être des contraires, mais qui sont, en profondeur ou en élévation, des complémentarités intrinsèques d’un ensemble secrètement amoureux et indissociable l’un de l’autre.

Notre Terre par exemple, la Sphère de référence absolue, nous servira de leçon d’école afin d’y voir plus clair, dans un prochain article-clé.

« Si la dyade donne l’impression de nous éloigner de l’unité par ses pôles opposés, la complémentarité des contraires s’attirent et tendent à s’unir.
C’est le paradoxe de la dyade qui divise et unit simultanément, sépare et rassemble, rejette et attire dans une tentative de fusion ».

Source : LE CODE SECRET.
La formule mystérieuse qui régit les arts, la nature et les sciences. Pages 50 à 53.
Auteur : PRYA HEMENWAY.
Éditions EVERGREEN GmbH, Köln. 2008
Paru sous le titre original : Divine Proportion. Φ Phi in Art, Nature, and Science.
© SPRINGWOOD SA, Lugano, Switzerland.
ISBN 978-3-8365-0710-3

« Dans le Suprême, dans l’ultime, alors que la vision limitée a disparu, comment peut-on faire des distinctions, par exemple entre dualité et non-dualité ?

Le fait de parler de non-dualité n’implique-t-il pas la notion de dualité ?

Il existe un état où disparaît toute distinction entre dualité et non-dualité »

Mâ Anandamayi.
Coucher de soleil et sapins à Leysin.

Une chose est certaine, La Vesica Piscis nous réserve bien d’autres surprises extraordinaires.

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